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Elkes: notre auberge tropicale pour le mois d'octobre.
La baignoire extérieure
Miguël, 65 ans, roommate de Simon et la bande à Basile
Le terrain de foot et James le goana
la jungle avoisinante et un chorizo
Le front de mer de Darwin: le seul aménagement urbain de la ville, presque intéressant. Darwin plage, comme à Paris, on ne peut pas se baigner, non pas pour la pollution mais pour les méduses boîtes dont les brûlures sont mortelles!
Simon part en bus chercher du travail dans la banlieue
Petite balade dans les environs de Darwin: Fannie Bay et Cullen Bay.
Le Mindil Market: une institution dans le Territoire du Nord. Brochettes de crocodile, nourriture asiatique et smoothies en quantite artisanale.
Pendant qu'Anne-Se est à la ferme pour emballer de la mangue......
Sous le shed
La fine équipe
days off
petit roadtrain
Farewell Party: préparation du Barramundi pêché dans la rivière voisine
...... Simon va faire un tour au Parc National de Litchfield.
En route avec Hélène et Olivier...
Piscines naturelles tempérée et faune diversifiée!
Jean-Michel, un pote...
Les potes à Batman plus suspendus que jamai s!
Et avant une nuit bien méritée, la rencontre avec le voisin d'à côté...
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Quelque part au-dessus du Pacifique...
un intérieur nippon toujours high-tech.........et un avion raté entre Brisbane et Cairns, aïe
Nous voilà arrivés à Cairns, ville-camping géante. Front de mer sur le pacifique, promenade sur caillebottis plutôt réussi. Barbecue tous les dix mètres sur petite pelouse et lagoon géant (4 200 m²) se substituant aux plages inaccessibles car les animaux marins dangereux sont partout.
Notre auberge, assez familiale nous a vite permis de retrouver une petite ambiance moresque avec le linge suspendu (merci Anne-Se).
sur la plage: la danse des crabes
Après quelques journées, piscines, sorties, rencontres sympathiques avec d'autres backpackers, nous sommes partis en mer pour appréhender la Grande Barrière de Corail! Nous optons pour un voilier plutôt qu'un gros aéroglisseur avec 200 personnes. Ainsi l'ambiance familiale nous permet de sympathiser avec l'équipage, et de profiter pleinement des paysages absolument dingues. Puis il est temps de se jeter à l'eau pour plus d'1h de snorkelling. Poissons multicolores, requins (oui oui), et végétation sous-marine. Puis petit arrêt sur la Green Island... avant de rejoindre la terre ferme à la voile.
l'heure du repas pour les requins
Green Island
les copaings du snorkelling
Nous avons choisi de passer notre dernière journée dans un parc animalier aménagé pour le visiteur mais préservant le milieu naturel des animaux. Ainsi nous avons pu approcher des crocodiles de rivières et marins, des kangourous, des cassories et bien évidemment des koalas, dont une famille complètement shootée à l'eucalyptus.
crocos de rivière
crocos marins aux mâchoires acérées
cassory aux folles couleurs
la famille koala que nous avons emmenée dans nos bagages
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Nous sommes arrivés à Tokyo vers 16h00 le 08 sept. Le décalage horaire dans les pattes, la nuit plus que difficile dans l’avion et l’humidité ajoutée à la chaleur ambiante, nous n’avons pas résisté à l’appel de la couette. A 17h00, nous dormions à la K’s House !
cosy K's House et commodité ultra-tech avec son, jets d'eau et lumière d'ambiance
Le lendemain, nous sommes allés dans le quartier de l’électronique « electric town », véritable bombe électromagnétique, des néons et des écrans géants bordent les rues en nous vantant les derniers produits high tech du moment.
Facile de se répérer dans le métro Tokyoite!
Ici ce n'est pas le lapin rose de la RATP...
Takeshita Street (la rue des Cosplayers!)
L’après-midi, nous avons fait un petit tour architectural dans le quartier d’Harajuku et d’Aoyama; nous avons remonté la rue d’Omotesando afin d’en apprécier les bâtiments d’HdM (la boutique prada), le centre commercial de Tadao Ando, la boutique Dior de Sanaa, le Todd’s de Toyo Ito et le Louis Vuitton de Jun Aoki. Plus loin, nous avons pu voir la tour H&M de Kawakubo Rei et le bâtiment de MVRDV (Audi), plutôt décevant.
Prada par HdM
Todd's par Toyo Ito
Centre commerciale de Tadao Ando Tour H&M de Kawakubo Rei
Dior par Sanaa
MVRDV ???
Ensuite, nous sommes allés visiter le parc de Mehji, un grand cheminement au milieu des arbres qui nous conduit à un temple shinto de toute beauté.
Le jour suivant, nous avons recherché des maisons étonnantes d’architectes, EDH Endoh Design House, une sorte d’œuf blanc posé en plein quadrillage urbain puis, une prouesse technique : un porte-à-faux d’environ 8 mètres de Klein Dytham Architecture. Relativement intéressant mais vraiment mal situé, le bâtiment va dorénavant être bordé par un édifice très important, brisant ainsi l’effet souhaité.
Nous avons eu un mal fou à trouver chaque œuvre architecturale, ce qui nous a permis de déambuler pas mal dans les rues des quartiers de Shinbuya et Shinjuku, nous offrant ainsi quelques découvertes comme le Yoyogi Stadium de Kenzo Tange dans lequel se déroulait le championnat du monde de Judo (nous avons pu croiser la french team (cocorico).
Ainsi que le plus grand passage piéton du monde...
Le soir, nous sommes allés dans le City Hall Tower de Tange afin d’avoir une vue d’ensemble de Tokyo by night et avons pu longer la Cocoon Tower du même architecte décédé.
City hall de Tange Coccon tour de Tange
Au passage, petite pensée pour Lolo...
Le soir nous avons passé la soirée dans le quartier le plus coloré qui soit, rivalisant largement avec Las Vegas, en terme de gaspillage électrique ! Ce quartier de Shinjuku se compare à celui de Pigalle par ses prostituées, ses salles de jeux virtuels et ses pseudos casinos qui jonchent les rues.
Nous sommes ensuite allés prendre un verre dans une petite ruelle proche, au bar « La jetée » où nous avons été incroyablement bien reçu mais copieusement arnaqué (~ 40€ le saké).
Le lendemain, nous avons assisté aux premiers matchs du tournoi de sumotoris. Véritables joutes d’amas de graisses. 5 minutes de préparation pour un match de 30 secondes. L’ambiance est chaleureuse dans une tradition que l’on ressent extrêmement respectée.
Après une bonne trentaine de combats nous sommes allés dans le quartier Ueno où nous avons découvert deux bâtiments de Le Corbusier : le musée d’art occidental et une grande salle de récital. Ensuite, je suis entré dans le musée national et j’ai pu y découvrir des œuvres plus qu’intéressantes des artistes comme Hokusaï, … mais surtout la magnifique galerie des trésors de Horryujipar de l’agence Taniguchi and Associates ! Véritable petit bijou de l’architecture minimaliste !
Une petite traversée de kermesse au péalable...
... le lac de cygnes et un match de curling avant la bouffée architecturale!
Le musée d'art occidental de Corbu
La galerie des trésors de Horryujipar de l’agence Taniguchi and Associates
Après cette longue journée culturelle, un bon repas...
Un grand choix parmis des plats en plastiques...
Et enfin, une nuit dans un hôtel capsule. Etrange lieu de villégiature ; deux mètres carrés pour 8 heures de sommeil. On ne ressent finalement pas tant la sensation d’emprisonnement telle qu’on aurait pu l’imaginer.
Le lendemain, nous sommes allés au temple de Senso-Ji dans le quartier d’Asakusa à proximité de l’aubeerge pour en apprécier les hauts lieux historiques de la ville.
L’après-midi, le quartier Ginza : boutique Cartier de Willmotte, boutique Chanel de Peter Marivo, boutique Mikimoto de Toyo Ito,et la boutique Hermès de Renzo Piano.
Boutique Mikimoto de Toyo Ito
A gauche Cartier de Wilmotte Hermès de Piano
Puis nous avons vu le Tokyo International Forum de Rafael Vinoly, construit à l’échelle de Goliath. Nous avons ensuite apprécié la tour Dentsu de Jean Nouvel et les hôtels capsules de Kurokawa datant de 1972.
Le lendemain, nous sommes allés faire un saut à Yokohama… la Landmark Tower où nous avons pris l’ascenseur le plus rapide du monde (40 secondes pour 273m). Et enfin le magnifique Terminal Portuaire International de Foreign Office Architects !
Le dernier jour, nous sommes allés au fameux marché aux poissons Tsukiji et nous avons flâné dans les jardins impériaux de Tokyo avant de retourner à l’aéroport de Narita, dans lequel (nous ne le savions pas encore) allions passer les 3 prochains jours. Et tout ça aux frais de la princesse.
Pollux!
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Falaises de Moher
Nous avons pris notre avion Ryanair depuis Paris le …, nous sommes arrivés le soir à Dublin. Il faisait plutôt beau et chaud. Nous avons ensuite pris un taxi pour aller jusqu’à l’auberge ce qui nous a déjà un peu familiarisé avec la conduite à gauche…
Le premier soir à l’auberge, nous avons rencontré des corses qui partageaient notre chambre, carrément sympas, malheureusement trop fatigués pour sortir avec nous. Nous sommes allés rejoindre les potes d’Anne-Se (trop cool ; Clément et Gaspard) au célèbre Temple Bar de Dublin. Sur place, nous avons fait connaissance d’une fille péruvienne qui parlait aussi un peu français. Cette dernière, quelque peu déjantée s’est faite branchée par un irlandais qui lui a fait croire que le guitariste de U2 était dans le bar. Celle-ci est partie en furie en direction du soi-disant musicien en lui flashant le visage à coup de Panasonic. Ensuite, l’irlandais lui a dit qu'il s’agissait en fait du guitariste de Linkin Park, réalisant enfin la supercherie, celle-ci se consola en prétextant que de toute façon il était Américain !!
Le lendemain, nous avons fait un bref tour dans la ville (plus ou moins sous la pluie) puis nous avons cherché une boutique de Qantas Airline inexistante malgré les informations collectées sur Google map car nous avions pleins de question à poser concernant le programme de fidélisation qu’ils proposent.
Petite ruelle avec passerelle couverte
Ensuite nous sommes retournés à l’auberge pour chercher à louer une voiture (pour faire le tour par le sud de l’Irlande) sur internet, nous avons trouvé une occasion sur un site nommé « Argusrent » que nous jugions pour une bonne affaire : il s’agissait d’un break Focus (on cherchait une voiture suffisamment grande pour pouvoir y passer les nuits) qu’il fallait aller chercher à une adresse où figurait une enseigne Europcar. Nous avons trouvé ça un peu louche et du coup nous avons décidé de ne pas louer directement la voiture mais plutôt de se rendre sur place !
Le sport local: une sorte de crosse et une balle!
Une fois chez Europcar, le commerçant, sur place, nous indique qu’il n’existe pas d’Argusrent ici mais qu’il peut nous louer une voiture pour le double du prix d’internet. Résultat, on se retrouve un peu comme des cons et on décide de rentrer à l’auberge pour une nuit supplémentaire imprévue et pour voir aussi si nous ne nous étions pas trompés dans l’adresse que nous proposait le site (à préciser : Anne-Se et moi disposons d’une mémoire tout à fait déplorable, entre temps nous avions déjà oublié que l’adresse que proposait « Agrusrent » était belle et bien celle de Europcar). Bref, nous sommes arrivés à l’auberge et nous avons effectivement pu vérifier l’exactitude des adresses. Nous nous sommes, bien entendu, demandés si le site d’Argusrent n’était pas frauduleux donc je les ai contacté par téléphone et ils m’ont expliqué qu’Europcar dispose d’un parking National où certaines compagnies internet dont eux déposent des voitures de location. Là, vous imaginez que nous avions beaucoup de haine pour ce commerçant qui n’a pas voulu nous dire qu’il disposait d’un parking national et qu’il a tout fait pour nous louer une voiture Europcar… cette fois, nous décidons de réserver la voiture par internet et d’aller tabasser le vendeur.
The custum house
Du coup le lendemain, après une rencontre d’un québécois ma foi tout à fait sympathique : Yann qui nous a orienté pour acheter nos tapis de sol dans un outlet de l'armée, nous avons décidé de prendre le tram pour retourner à Europcar (la dernière fois nous n’avions pas les sacs sur le dos). Et dans un élan de folie d’adolescents rebelles nous avons décidé d’entamer une année sans payer aucun titre de transport en empruntant le tram sans ticket. Résolution de courte durée car deux arrêts plus loin, les contrôleurs étaient en train de nous expliquer que si nous ne réglions pas l’amende sur le champ, nous risquerions de payer dix fois plus cher à notre retour en France la majoration (ils avaient pris notre identité via nos passeports et comme il s’agit d’un pays européen, aujourd’hui, on finit toujours par les payer les contraventions !)
90€ en poche en moins, et nous revoilà à pied pour les 50 derniers mètres du parking Europcar. Les nerfs à vif, nous allions retrouver notre bon vieux vendeur. Nous n’avons finalement pas eu à faire à lui mais à une de ses collègues. Sur place, nous avons pu réalisé aussi que la voiture (le break réservé sur internet) avait était remplacé par une simple berline. Du coup, il a fallu batailler en expliquant que nous allions être nombreux et qu’avec les bagages une berline ne pouvait suffire, qu’il ne s’agissait pas de notre réservation, et qu’en plus elle était moche (KIA Sedona). Face à notre dépit et aux aléas de la veille dont nous lui avons fait part, la dame d’Europcar, nous propose gentiment un modèle type Volkswagen Sharan pour les initiés, vitres teintées, boîte automatique, direction assistée, toit ouvrant, grise métallisée, bref, idéale pour 5€ par jour en plus que ce que nous voulions, ce qui au total nous aurait fait 50 € car 10 jours de location (pour les cancres en maths). Notre budget s’étant largement restreint les 2 dernières heures précédentes notre arrivée, nous lui expliquâmes, avec le désarroi le plus total, que nous n’avions pas les moyens mais qu’ils devaient trouver une solution. Nous estimions qu’ils n’avaient pas le droit de nous laisser sur le carreau avec déjà une nuit supplémentaire à Dublin par la faute de son collègue non prévue dans le budget initial. Et là, comme par un enchantement (nous avons tout de suite pensé à un geste du seigneur, certainement désœuvré par la situation complexe dans laquelle nous étions), cette même bonne femme nous propose alors de prendre cette voiture comme ça pour rien et que tout est cool et patati et patata. Bref, on lui dit qu’on est déjà couverts avec ma carte mais sauf pour les pneus apparemment et que nous pouvons y aller, le plus vite étant le mieux car l’agence s’était déjà bien remplie.
Sous ce beau soleil, enfin comme on l’imaginait derrière les nuages (je reprécise, pour les deux du fond qui ne suivent pas que nous étions en Irlande), et sous le regard protecteur de Jésus, nous avons démarré le véhicule et fait tout simplement n’importe quoi. Je vous rappelle une nouvelle fois au passage que la voiture disposait d’une boîte automatique et ça faisait au moins bien 4 ans que je n’avais pas conduit de boîte automatique, qu’en Irlande, on roule à gauche et que les rues sont extrêmement étroites. Tous ces paramètres ainsi regroupés nous amènent bien inéluctablement à l’inévitable ; une conduite parfaite (quelqu’un en aurait douté). Encore quelques petits tests de la boîte de vitesse dans une ruelle et voilà, nous voilà enfin parti en direction de Cork. Les cheveux au vent (toit ouvrant), avec une musique dans la tête (la radio ne fonctionnait pas), quelques petites frayeurs de réflexes intempestifs de conduite à droite mais rien d’alarmant (en tout cas pour moi qui était au volant car c’est vrai que ma copilote ne faisait pas toujours la fière).
la voiture de papa une conduite en grande confiance!
Nous sommes arrivés sans encombre à Cork dans la soirée et avons pu faire la connaissance de Solène (ancienne architecte de notre école) et de Chris son copain (merci Noémie W.) qui nous avaient chaleureusement préparé le dîner. Ensuite nous avons fait un tour dans la ville, et après avoir croisés quelques personnes en état important d’ébriété, nous sommes allés dans deux bars typiques où nous avons découvert la Beamish (bière locale), entendu du jazz et de la musique traditionnelle. Enfin, après, cette belle soirée, nous avons pu aller nous coucher chez nos hôtes.
en compagnie de Solène et Chris
Le troisième jour nous avons visité Cork, nous sommes allés voir l’université qui est un haut lieu touristique, puis nous avons grimpé sur les hauteurs de la ville pour enfin rejoindre le musée d’art contemporain. Ce dernier ne présentant pas d’œuvre vraiment originale, à notre égard, nous sommes finalement allés regagner la voiture pour partir en direction de la région du Rings of Kerry.
certains ont peur de ne pas capter...
Et là, premier spot à trouver pour passer la night ! Bon, nous avons finalement, après avoir dîné à proximité de l’océan Atlantique pour assister à notre premier couché du soleil, trouvé un coin assez reculé, impasse devant un champ où personne ne pouvait nous déranger. Au petit matin, cadre relativement idéal, soleil, déjeuner sur herbe, horizon dégagé sur l’océan et ânes en train de manger.
Pour le plaisir des yeux:
Nous sommes ensuite allés sur la plage de Ballingkellig où nous avons déjeuné après avoir pas mal roulé tout en admirant le paysage incroyablement vert. Plus tard, nous avons été voir les fameuses falaises du coin. Vertigineuses, noires et d’une hauteur à couper le souffle !
Ensuite, nous avons cherché notre deuxième spot pour la night : le long d’une route déserte qui bordait un lac. Après un réveil un peu atypique (un irlandais pensait que nous avions planté une tente dans son champ car nous stationnions devant son entrée et il ne pouvait voir que nous étions à l’intérieur).
Nous avons alors pris la route pour le parc de Killarney où nous y avons passé l’après-midi.
Parc naturel absolument magnifique, incroyablement bien entretenu. Nous avons fait le tour en mode petite rando du lac qui le jalonne. Puis nous sommes repartis pour la quête du nouveau spot. Après avoir un peu tourné entre les champs du coin, nous avons finalement trouvé une place le long d’un chemin à côté d’une rivière.
Le lendemain, nous sommes partis en direction des falaises de Moher (lieu prestigieux quant à la majestuositée du front de mer). Absolument magnifiques !
Nous avons ensuite repris la route pour la région du Burren où le paysage était de plus en plus dépaysant. Longues plages minérales craquelées par l’érosion et dessinées par le vent. Nous avons passé pas mal de temps à parcourir les récifs et escalader les petites falaises. Nous avons commencé par passer la nuit sur une plaine minérale magnifique mais nous avons écourté cette dernière, des irlandais chelou étant venu scruter notre véhicule, nous avons préféré trouver un autre endroit. Après une vingtaine de minutes dans les terres à la recherche d'une impasse qui devenait désespérée, nous avons finalement trouvé le lieu idéal, loin de tout regard, entre deux entrées de champs, loin dans les terres mais avec vue imprenable sur l’océan ; cool !
Herbe, roche et mer Paysages lunaires
La nuit tombe...
notre campement!
Le lendemain, nous sommes allés visiter le parc national du Burren où le paysage paraissait encore sortir de nulle part, une sorte de lac comme nous pouvons imaginer ceux d’Afrique et une colline plissée en biais. Nous l’avons grimpée avec une petite partie en mode escalade. J’avoue cependant avoir fait un petit retour en arrière lors d’une ascension que j’avais jugée un peu trop dangereuse. Mais après une chute de cheval, il faut remonter donc même si je n’avais pas chuté, je suis allé escalader un pan plus à ma portée.
Parc national du Burren
L'autre côté La vue
L'ascension réussie! Le chemin du retour
Le soir, après cette grosse journée, nous sommes allés passer la nuit dans une auberge de jeunesse à Galway où nous avons retrouvé les potes d’Anne-Se avec qui nous avons partagé une soirée dans un bar local. Gaspard nous a quittés pour rejoindre Dublin le soir même et nous sommes retournés à l’auberge. Le matin, nous sommes parti pour le Connemara !
Petites routes pour grosse vitesse!
Clément, en copilote non-averti, nous a fait découvrir par hasard des coins absolument singuliers du Connemara. Nous sous sommes avancés très loin sur une impasse d’une dizaine de kilomètres où nous avons pu apprécier un paysage fait de marécage et de maisons bretonnes (dans l’esprit).
J'adore le mouton!
il nous a permis d'éviter un excès de vitesse, les policiers étaient postés juste après le virage!
Nous avons trouvé un spot dans une sorte de décharge, sans ordure heureusement, où nous nous sommes installés tel un campement de manouches. Nous avons sorti les sièges et mangé à la bougie autour d’une table en carton : la grande classe !
Petit campement de manouches
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Le lendemain, nous sommes allés dans le parc national du Connemara et nous avons gravi une petite montagne du coin puis visité une école féminine de loin car l’entrée étant excessivement chère !
Le sommet visé
La pause mouton, normal Romain, ça c'est pour toi
cadre de travail plutôt sympathique
une histoire d'amour est née
Nous avons ensuite fait un arrêt dans une petite ville du coin où nous avons ensuite cherché un spot pour la nuit (sachant que Clément dormait dans une tente, il devenait difficile de trouver un endroit adéquat). Finalement, nous nous sommes enfoncés dans une forêt qui paraissait être le spot idéal. Malheureusement, les routes étant un peu complexes, le pneu avant gauche éclate et nous bloque dans ce bois. En deux temps, trois mouvements, la nuit approchant, nous avons pris les choses en main et finalement, ce sont de gentils autochtones qui nous ont changé la roue. Nous n’avions en fait pas la clé adéquate pour démonter le pneu.
Opération cric à Cong
Après une nuit un peu dure suite aux aléas, un petit footing matinal d’au moins un kilomètre, nous avons pris notre bain, Clément et moi, dans le lac de proximité dans une eau avoisinant les 10 degrés. Du coup, avec ces dernières péripéties, nous avons dû passer pas mal de coups de fil afin d’arranger un peu ces derniers désagréments et nous sommes repartis en direction de Dublin.
Là nous avons tourné bien trois heures avant de trouver une bonne place pour passer la nuit !
De retour à Dublin, nous abandonnons Clément, et nous retournons à Europcar où nous sommes finalement parvenus à ne rien payer et à annuler l’assurance qu’ils nous avaient ajoutée à contre gré.
Le soir, nous avons recroisé Yann, qui avait une date puis nous avons retrouvé Clément pour un dernier verre à Dublin dans un pub du coin.
Nous avons passé la nuit dans une nouvelle auberge de jeunesse, moins cosi mais plus abordable. Le lendemain, nous avons fait notre petite visite de la ville historique : Trinity College et les quartiers historiques et le lendemain, nous sommes allés dans le quartier ouest, nettement plus intéressant du point de vue architectural. Nous avons pu découvrir entre autre le stade assez ouf (sorte de gros pneu dégonflé), le théâtre de Liebeskind (pas mal) et un joli pont de Calatrava.
La dernière nuit dans la même auberge pour cette fois regagner notre terre natale.
salle de jeux de l'auberge la famille Barbapapa de 160L
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